Patrimoine , wealth management, global wealth management, les Paradis fiscaux sont ils des Paradis perdus?
Y A-T-IL ENCORE DES PARADIS FISCAUX ,
A la suite des Etats Unis , tout les grands états , et les moins grands, ont décidé de mettre hors la Loi le secret bancaire.
Sus à l’opacité, telle semble être le slogan des Américains et des Français, tièdement suivis dans un silence remarqué par le Royaume uni.
Désormais, tout le monde sait que des fonds de nature illégale placés sur des comptes « OFF-SHORE » seront retrouvés et leurs propriétaires poursuivis et pénalisés par le jeu de la transparence et de la coopération en droit pénal fiscal.
En bref, il n’y a plus de paradis fiscaux pour les fraudeurs et les blanchisseurs, sauf avec complicité d’ un état en Russie ou en Chine, encore faut il que ceux-ci soient d’accord et ne vous extradent pas ou ne vous condamnent pas et à défaut saisissent et confisquent les fonds.
Il est nécessaire d’indiquer aux téméraires, que la Russie applique des lois datant des communistes de lutte contre la spéculation ce qui limite les possibilités de recyclage dans des entreprises Russes pour des étrangers, l’achat d’une simple action pouvant vous conduire en prison.
Inutile de se précipiter avec des valises de billets au Panama ou ailleurs, tout est suivi et vous devez justifier désormais de l’origine de vos fonds et de leur acquittement vis à vis des impots de la juridiction émettrice du mouvement.
Les Etats unis, possèdent en New york, la première place de gestion patrimoniale , à un tel point que la ville a été surnommée « la trappe à liquidité ».
Ell fut longtemps en concurrence avec la Suisse et UBS et avec le Royaume uni, qui avait fait de l’Europe sa pompe a liquidité avec recyclage dans les places off shore du commonwealth, Guernesey et autres , qui ne sont plus à présenter.
A plusieurs reprises au début des années 2010, le département d’état, se faisant l’écho de WALL STREET et du Fisc , avait mis en garde le Royaume Uni sur le fait de » being light on tax avoidance ». En clair ils reprochaient clairement à Londres, de pratiquer l'évasion fiscale aux détriment du fisc américain.
Afin de défendre la trappe à liquidité et donc Wall Street, les américains allaient donner une le9on définitive et radicale à nos voisins anglais.
En activant les réseaux radicaux de Wall Street, comme ceux vivant du trading à haute fréquence, les canaux en grande Bretagne proches de Wall street furent mis à contribution afin de discréditer l’Europe et pousser le Royaume Uni au brexit .
Leur leader , Nigel Fradaj, réussit à inflitrer le gruyère européèen en se faisant élire députe, lui qui tente de masquer son passé de trader pour wall street sur son wikipédia :
(After leaving school in 1982, Farage obtained employment in the City of London, trading commodities at the London Metal Exchange.[8] Initially, he joined the American commodity operation of brokerage firm Drexel Burnham Lambert,[26] transferring to Crédit Lyonnais Rouse in 1986.[26] He joined Refco in 1994, and Natixis Metals in 2003.[26
Le coup fut bien monté et parfaitement réalisé, ceux qui actuellement patissent du brexit, sont ceux qui ont voté pour lui.
Le but de Wall street est atteint il n’y plus pour l’instant de concurrent crédible à New york en matière de gestion patrimoniale et global wealth management, les Etats unis sont bien le premier paradis fiscal désormais.
Une question va se poser désormais, comment les américains vont-ils traiter les fraudeurs qui recyclent dans les bitcoins ?
La Chine a déjà rendu illégale cette monnaie .A suivre .